| | | Dancer in the rain (pv Eä) |  |
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DREAM ON
◊ WHO : Matt Dallas ◊ WHERE : Paris ◊ QUOTE : La marche du vertueux est semée d'obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l'oeuvre du Malin. Bénit soit-il l'homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu'il guide dans la vallée d'ombre de la mort et des larmes car il est le gardien et la providence des enfants qui se sont égarés. J'abattrai alors le bras d'une terrible colère, d'une vengeance furieuse et effrayante sur les impies qui pourchassent et anéantissent les brebis de Dieu , et tu saura pourquoi mon nom est l'Eternel quand s'abattra sur toi la vengeance du Tout Puissant...
◊ PSEUDO : X
 | | Sujet: Dancer in the rain (pv Eä) Ven 20 Aoû - 15:31 | |
| La clémence ne se commande pas. Elle tombe du ciel comme une pluie douce sur le lieu qu'elle domine. William Shakespeare, le marchant de Venise. Je me remémorais cette phrase, que j’avais lu il n’y a pas si longtemps que cela, tout en marchant au milieu d’une rue piétonne. Pour un jour de week-end, il n'y avait pas grand monde. Cela venait sans doute du temps. Même s’il faisait quand même assez chaud pour un jour de mai, les touristes n'avaient apparemment pas l'habitude de la pluie, aussi fine soit-elle. La plupart étaient en manche courte et en short, abritaient sous un porche ou dans des boutiques. Comme le dis si bien le proverbe : Après le soleil, revient la pluie. Règle numéro cinq d'un bon organisateur : Toujours vérifier tous les paramètres. Et la météo n'échappe pas à la règle. Ma vie est comme cela. Régis par un certain nombre de règle que je suit tout le temps, pour ma propre survie. Et cela m'est bien utile car je n'étais pas mouillé, tout cela grâce à mon organisation. Je ne suis pas maniaque, non je ne dirais pas cela. Je me considérerais plutôt comme un joueur expert en échec, j'aime prévoir les coups à l'avance. J'aime que tous soit sous mon contrôle.
Cela fait maintenant deux ans que je tiens ma boutique de fringue, tout proche de la Seine. On peut la voir des vitrines. C'est un décor qui me plait bien et qui, quelque part, me fait du bien. Je ne sais pas trop pourquoi. Je peux rester des heures à la regarder, sans penser à rien, je dois dire que cela me fait plutôt du bien. Au tout début, je n'étais qu'un simple employé qui venait trois fois par semaines, pour payer ces études. Mais de fil en aiguille, je me suis retrouvé propriétaire d'un magasin de vêtement féminin à la mode. Cela me plait plutôt bien. Je ne le regrette pas. Mais je me demande parfois si cela ne me colle pas une étiquette sur le front. Je tiens un magasin pour les filles donc je suis efféminé ? J'avais souvent eu le droit à des moqueries, des humiliations ou tous autres trucs de gamins dans mon autre vie, car j'aimais lire de temps en temps des magazines de mode plutôt que ceux expliquant comment bien trafiquer sa moto. Encore maintenant je ne sais pas vraiment ce que je suis, mais je ne m’en soucis pas plus que cela. Mais j’ai repensé à cela quand elle est apparue pour la première fois dans ma vie.
Je venais juste de devenir propriétaire quand elle est rentrée dans la boutique et que je l'ai regardé. Je n'avais pas le souvenir de l'avoir déjà vu auparavant. Elle semblait pleine de vie et sur d'elle. Au début, je n'avais rien osé. Je voulais discuter avec elle. Elle me semblait tellement intelligente et fascinante. Je n'ai pas compris pourquoi je voulais cela. Elle revenait souvent et à chaque fois je la regardais. Je ne sais pas si elle l'a remarqué, mais mes employés oui en tout cas. Ils étaient deux. Thierry et Eléonore. Au fil du temps, on était devenus plus que des collègues de travail. Je savais que Thierry avait, disons, des vues sur moi. Mais quand il a vu mon regard, il n'a pas arrêté de me chambrer. Je ne lui en voulais pas. C'était sa façon de me montrer son affection. Pour ce qui est d'Eléonore, elle n'arrêtait pas de me pousser pour que j'aille lui adresser la parole. Je me suis enfin décidé trois semaines après l'avoir vu la toute première fois. Elle fouinait entre les rayons, à la recherche sans doute de la perle rare. Je me suis éclaircis la gorge et elle s'est retournée vers moi. Ses cheveux ont fait alors un mouvement qui m'a électrisé. J’étais incapable de bouger mais j’ai quand même pu tenter d’articuler une phrase des plus banales.
«Qu'est-ce que vous prendrez aujourd'hui monsieur ? »
«Un gin tonic s'il vous plait »
Le serveur repartit vers le bar, me laissant seul à ma table. Je regardais ma montre gousset pour confirmer ce que je pensais. J'étais bien en avance. Mais elle n'allait pas tarder. Il était presque 20h. En repensant à ce jour, j'aurais bien voulu sortir cette phrase mais au lieu de cela, j'ai plus dis quelque chose à propos de ces cheveux, ce qui a eu pour seul réaction de faire rougir cette charmante jeune fille et de donner un fous rire à mes deux employés. Comme d'habitude, je n'avais pas été doué, mais par la suite, tout s'est arrangé et on est devenus très bon amis. On se retrouvait très souvent dans ce bar pour discuter. Mais je suis sur que cette soirée va être très longue et que je ne vais pas trop l'apprécier. Cela m'apprendra à recevoir mes clients particuliers dans la réserve. Je soufflais un peut et tritura la cigarette qui se trouvait dans la poche de ma veste. Je fermais une seconde les yeux pour me détendre. Quand je les rouvrit, je l'a vis. |
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DREAM ON
◊ WHO : Liv Tyler. ◊ WHERE : Paris, XVIe. ◊ QUOTE : « Le truc qui me fait le plus triper c’est d’regarder par la fenêtre... Je regarde les autres vivre, j’me pose des questions sur eux, qui ils sont, où ils vont, tu vois ils deviennent des sortes de héros d’histoires que j’m’invente... Tu vois c’est simple... »
◊ PSEUDO : Nausicaa
| | Sujet: Re: Dancer in the rain (pv Eä) Sam 21 Aoû - 2:32 | |
| Eäriel marchait d'un pas pressé en consultant sa montre. Si elle ne se dépêchait pas un peu plus, elle allait être en retard... Mais était-ce réellement sa faute si son parrain l'avait retenue plus longtemps que d'habitude au laboratoire, et qu'elle avait donc, du coup, dû se dépêcher pour finir sa dissertation ? Enfin, tout cela était derrière elle, et elle avait eu le temps de se préparer convenablement. Elle prit la ligne un du métro, puis la ligne six en direction du Trocadéro. Là, elle descendit jusqu'à la Tour Eiffel avant de bifurquer dans une rue adjacente, suivant le cours de la Seine. Elle connaissait très bien le bar où elle avait rendez-vous, puisqu'elle y allait très souvent avec Samuel. Il lui restait environ dix minutes de marche et elle laissait ses pas la guider à toute vitesse.
Elle se souvenait de sa première rencontre avec Samuel, le propriétaire d'une boutique de vêtements près de la Sorbonne, dont la devanture donnait sur la Seine. Elle était tranquillement en train de regarder des vêtements lorsqu'elle le vit se matérialiser à côté d'elle, trois semaines après sa première visite du magasin. Elle l'aimait bien, cette boutique, elle y trouvait son style. Simple, épuré, et surtout, sans marque aguicheuse sur la doublure. Elle ne voulait pas être comme les autres filles de l'université. Surtout que c'était la période où les garçons tournaient autour d'elle, attirés par son 'exotisme'. Ils avaient été déçus, et depuis, elle se fondait mieux dans la masse des étudiants. Eäriel avait donc trouvé des habits à son goûts, et même si elle rentrait parfois bredouille, elle aimait s'y rendre, par habitude.
Et donc, ce jeune homme était venu lui parler. Elle le regardait distraitement comme pour s'apprêter à rembarrer un vendeur qui voulait lui demander si elle avait besoin d'aide. A vrai dire, elle n'aimait pas tellement cette habitude qu'avaient ces professionnels de leur demander s'ils cherchaient quelque chose en particulier. Ce à quoi elle répondait invariablement : « Ca va, je regarde, merci beaucoup. », le tout sur un ton poli. Mais ce qui l'énervait le plus, c'était lorsque les vendeuses se penchaient vers les cabines en demandant si tout se passait bien... Là, elle avait envie de rétorquer : « Non, j'arrive pas à m'habiller seule, ma maman n'est pas là ! » Bien entendu, elle se taisait. Mais ce que Samuel avait dit ce jour-là était d'une toute autre nature. Il avait simplement parlé de ses cheveux, comme s'il avait été saisi d'une impulsion soudaine. Évidemment, Eäriel en avait été très surprise, et le sang avait reflué dans ses joues. Elle n'avait pas su quoi répondre, et les collègues du jeune homme s'étaient mis à rire devant la situation... rire auquel elle s'était timidement jointe, avant de continuer la conversation.
Finalement, il s'était révélé d'une compagnie très plaisante, et ils s'entendaient bien. Les progrès d'Eäriel en français se faisaient ressentir à chacune de leurs conversations, et au bout de quelques mois, ils se voyaient plutôt hors de la boutique pour discuter plus librement, dans le bar où elle se rendait justement. Mais ce soir-là, ce serait différent... Pour la simple et bonne raison que quelques jours auparavant, elle avait surpris une discussion dans l'arrière-boutique - discussion qui impliquait le vol et les rêves. Donc Samuel faisait partie de ceux qui pratiquaient l'instantiation, à mauvais escient... Choquée, elle l'avait vu se tourner vers elle, avant qu'elle ne sorte en trombe de la boutique.
Bien entendu, la jeune femme avait sérieusement songé à le dénoncer. Mais elle avait ensuite exclu cette idée. Parce qu'elle connaissait trop bien Samuel à présent, et qu'elle s'était quelque peu attachée à lui. Elle ne voulait pas sa perte, non plus. Alors, elle s'était fixée comme résolution d'essayer de le ramener dans son droit chemin, et lui avait envoyé un texto pour lui donner rendez-vous dans leur bar habituel. Maintenant, restait à voir s'il ne s'était pas rétracté.
Non, il était bien là. Un serveur s'était approché de lui, mais elle était encore trop loin pour qu'il la voie, au milieu de la foule. Il était en train de fermer les yeux quand elle parvint à sa hauteur. Eäriel ne put s'empêcher de sourire, mais lorsqu'il les rouvrit, elle reprit un air sérieux et s'assit en face de lui, sans prendre la peine de lui dire bonjour. Quelque part, elle lui en voulait quand même, et désirait le faire comprendre. Le serveur revint avec une boisson, et elle en profita pour commander un jus de pomme. Puis elle plongea son regard dans celui de son interlocuteur, comme pour essayer de sonder ses émotions. Puis, elle lâcha.
« Je ne t'ai pas dénoncé, comme tu t'en doutes. »
Que c'était difficile de ne pas sourire ? Elle ne désirait pourtant que cela redevienne comme avant. Mais elle ne pouvait pas fermer les yeux. Elle qui était contre l'instantiation, ne savait même pas qu'il la pratiquait lui aussi. A vrai dire, ils n'avaient jamais vraiment abordé le sujet. Et cela la blessait quelque peu de savoir qu'elle ne connaissait pas Sam' aussi bien qu'elle le pensait. Son jus de pomme arriva, et tandis qu'elle remuait distraitement les glaçons avec sa paille, pensive, elle ajouta :
« Écoute. Je pense que tu es quelqu'un de bien, et je t'apprécie énormément. Mais... Mais tu as songé à ce que tu fais ? Ce n'est pas digne de toi. Je suis sûre que tu vaut largement mieux que ça. »
Elle s'était exprimée sans détour, une expression quelque peu peinée sur le visage. La franchise faisait partie de son caractère, quand il le fallait, et elle se doutait qu'il ne le prendrait pas forcément bien. Mais elle estimait que c'était son devoir, le devoir d'une amie. Peu importait les coups, elle encaisserait. Si seulement elle pouvait réussir à le convaincre...
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◊ WHO : Matt Dallas ◊ WHERE : Paris ◊ QUOTE : La marche du vertueux est semée d'obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l'oeuvre du Malin. Bénit soit-il l'homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu'il guide dans la vallée d'ombre de la mort et des larmes car il est le gardien et la providence des enfants qui se sont égarés. J'abattrai alors le bras d'une terrible colère, d'une vengeance furieuse et effrayante sur les impies qui pourchassent et anéantissent les brebis de Dieu , et tu saura pourquoi mon nom est l'Eternel quand s'abattra sur toi la vengeance du Tout Puissant...
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| | Sujet: Re: Dancer in the rain (pv Eä) Jeu 26 Aoû - 1:07 | |
| Elle était enfin là, à côté de moi. Bien évidemment, pas un bonjour ni un signe de salut, ce qui confirmait bien ce que je pensais. Elle m'en voulait encore terriblement. Je le voyais au plus profond de son regard. Il était froid mais cela ne lui allait pas. La petite flamme qui y brillait d'habitude s'était assombrie. Elle avait même un léger trait qui commençait à se dessiner sur son front qui est si beau lisse. Je n'aimais vraiment pas ce regard de reproche qui semblait me poignarder à chaque seconde. J'évitais de la regardais dans les yeux. Je savais au fond de moi que j'avais merdé en beauté et que je devais trouver une solution. J'étais bien obligé, je ne voulais pas la perdre. Nous avions passés de si bon moment ensemble, je ne veux pas qu'ils soient gâcher aussi bêtement.
Elle commanda un jus de pomme. Elle voulait garder la tête bien claire, mais moi j'avais besoin de force pour affronter cette conversation aux répercussions énormes. Je voulais que cela finisse au plus vite, elle aussi apparemment. Quand j'avais rouvert mes yeux, j'avais vu l'ombre d'un sourire sur son si doux visage. Mais ses lèvres rouges s'étaient vite repliées en une expression neutre. J'attrapais le verre avec ma main droite, mais ne le portais pas à ma bouche. Je laissais ma main seulement comme cela, pour ressentir le froid envahir mes doigts.
Je sursautais presque quand elle prit la parole. Je prends donc l'effort de me retourner vers elle, seulement pour lui faire comprendre que j'avais bien entendu. Mais je retournais bien vite à la contemplation de mon verre. Et puis non merde, je devais lui tenir tête tout de même, ne pas me laisser me faire écraser. Je ne veux pas qu'elle quitte ce café en se disant qu'elle peut me contrôler facilement, comme un petit garçon. Je ne veux pas qu'elle parte d'ici.
Et je tiens à ce que tu saches que je t'en remercie du fond du cœur. Mais il y a quand même une chose que j'aimerais te faire comprendre. Tout d'abords, tu n'étais pas censé assister à cela. Et comme tu n'a pas entendu tout depuis le début, tu as certainement mal interprété certaines petites choses.
Ah oui ça allait beaucoup mieux comme cela. Si elle ne s'énervait pas ou ne me ficher pas une gifle, j'aurais beaucoup de chance. Mais au fond, c'est certainement vrai. D'ailleurs, je ne sais même pas ce qu'elle a entendu ou non. Mais tout cela lui tenait à cœur, peut être même un peu trop. Mais je ne dois pas lui en vouloir pour autant. On a presque une relation frère-sœur maintenant que j'y pense. Tout ce qu'elle veut, c'est me protéger et non pas m'étouffer. Et maintenant que j'y repensais, on n'avait pratiquement jamais abordé ce thème de l'instantiation ensemble. Il ignorait tout de cette facette de moi et c'est cela qui doit la déranger. Elle doit croire que je lui ai caché alors qu'en faites, on n'en a jamais vraiment parlé. Et pour ce qui est d'elle, je savais seulement qu'elle écrivait un roman sur ce thème. Je n'avais pas été beaucoup plus curieux que ça. D'ailleurs, je me demande si elle s'est inspirée de moi pour créer un personnage... Il faudra que je lui demande.
Mais pas maintenant, ce n'est, mais alors vraiment pas le moment de tenter de l'humour. Le serveur arriva, me coupa complètement dans ma longue réflexion intérieure. Je savais qu'elle voulait briser la glace. La façon dont elle jouait avec la paille le montrait bien. J'osais la regardais et je vis autre chose dans son regard que je mis du temps à comprendre. Il y avait aussi une pointe de tristesse. Tout au fond, quelque peut cacher. Comme je le pensais, elle recasa une nouvelle fois la glace, mais cette fois-ci, elle fit une entailla plus profonde. Je me devais de répliquer
Eä, moi aussi je t'aime beaucoup et je sais bien que tu t'inquiètes beaucoup pour moi. J'aurais sans doute fais la même chose à ta place. Mais je suis grand maintenant, je sais ce qui est mal ou bien. Mais je ne sais pas ce qui est vraiment digne de moi ou pas. Je ne me considère pas une si bonne personne que ça
Je savais que j'avais franchi une limite que je n'avais jamais dépassée avec personne. Une limite que je m'étais imposé pour éviter de dire certaines choses qui me feraient plus de mal qu'autres choses. Selon moi, il était encore trop tôt pour en parler, je n'étais pas vraiment prêt émotionnellement à affronter mes démons. Je ne voulais pas revoir tout cela. Mon visage était en train de se décomposer et Eä avait certainement dû le voir. Pour reprendre quelque peut des couleurs, je bu une gorgée de mon verre. Je sentais le breuvage glacée descendre lentement le long de ma gorge.
Des perles de sueur coulaient sur ma nuque. J'avais encore soif, j'étais en état de stress. Il fallait que je me calme sinon j'allais craquer. Je sortis la cigarette de ma poche et la posa sur la table. Je la fixais un instant avant de la prendre dans ma main gauche et jouais avec tout en fixant le vide. Je ne devais pas l'allumer. Je me retournais vers cette charmante femme à côté de moi et me racla la gorge.
Il faut que tu saches que je n'ai pas toujours été comme je suis maintenant. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a encore beaucoup de chose de ma vie que tu ne sais pas et que je ne préfère pas te révéler. Je sais que tu ne comprends pas et que tu es fâché contre moi, mais cela n'en vaut pas la peine. Il n'est pas bon de remuer le passé.
J'avais dit tout cela en la fixant, droit dans les yeux, sans jamais la quitter. Je savais que j'allais la blesser, mais c'était la seul façon pour qu'elle comprenne que c'était important pour moi de ne pas aller trop loin. |
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