— INSTANTIATION
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
OSEREZ-VOUS JOUER A DIEU ?
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez | 
 

 Just gonna stand there and watch me burn @aby

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
C. Liam Ashford
C. Liam Ashford

DREAM ON

◊ WHO : JLG weeeeesh
◊ WHERE : New-York City
◊ QUOTE : Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. - grey's anatomy
◊ PSEUDO : caterpillar


~ DREAM ON
◊ RELATIONS:

Just gonna stand there and watch me burn @aby _
MessageSujet: Just gonna stand there and watch me burn @aby   Just gonna stand there and watch me burn @aby EmptyJeu 9 Sep - 17:53

I can't tell you what it really is.
liam&aby

    L'appartement était vide. Ou presque. Seul Liam l'occupait pour la journée. Il n'était pas d'humeur à sortir aujourd'hui. A vrai dire, depuis quelques temps, il ne l'était jamais. Il passa donc la matinée à échafauder des plans, trouver toutes les informations possibles sur leur futur cible, mais c'était sans compter sur son image qui revenait sans cesse. Impossible de se concentrer correctement. Elle le hantait. Sans doute parce qu'il savait qu'elle n'était pas si loin. Un taxi et il y était en quelques minutes. Mais il ne le fit pas. Il ne devait pas. Il s'évertua alors de trouver quelque chose à faire pour l'occuper de pas trop difficile. Une page de livres plus tard, il s'attaqua à la télévision devant laquelle il comata une heure. Puis vint l'heure du déjeuner. Il commanda une salade et un grand café qu'il reçut dans le quart d'heure à domicile. Il mangea lentement, toujours seul dans l'immense cuisine. Lorsqu'il eut finit, il rechercha sur internet des places pour un match de Baseball ou de basket qu'il pourrait aller voir avec Max ou Aby. Ce qu'il trouva en quelques clics à peine. La réservation faite, il devait être quatorze heure trente tout au plus. Il se remit devant la télévision sans vraiment s'intéresser à l'émission débile qui passait.. Le jeu finit sur un type anciennement obèse en pleure. Liam n'aurait su dire pourquoi tellement le programme l'avait désintéressé et tellement Zoë occupait ses pensées. Quand il regarda sa montre il remarqua qu'il était dix-sept heures passés. Comment se faisait-il? Avait-il dormit? Le jeune homme ne se souvenait même pas d'avoir passé tant de temps devant l'écran. Il éteignit le poste, se leva et s'étira. Il était l'heure. Il pouvait le faire maintenant. Personne ne serait là normalement. Il attrapa la malle, respira profondément se délectant de cette petite décharge d'adrénaline qui se déversait dans ses veines. Il sourit dans le vide et alla s'asseoir sur la méridienne ultra design où il s'allongea, l'intraveineuse à la main. Il inspira profondément, puis, fermant les yeux, planta la perfusion et cliqua sur le bouton central. 'Et c'est parti pour sept minutes de rêve...'

    Liam se retrouva projeté dans son ancien appartement. Ou plutôt leur ancien appartement. Tout était identique. L'immense cliché réalisé par Elliot Erwitt sur la gauche, la console où se trouvait le vide poche à quelques mètres. Même l'odeur était la même. Il avança doucement dans le couloir, ne sachant pas réellement ce qu'il l'attendait. Bien sur elle était là. Une douce sensation de plénitude l'envahit soudainement. Il sourit. Elle lui tournait le dos. Il se rapprocha sur la pointe des pieds. Une fois à sa hauteur il enroula ses bras autour de son petit corps. « Bonsoir mon ange » Il renifla profondément les effluves de shampooing émanant des cheveux de Zoë. Son odeur à elle n’avait pas non plus changé. « Tu as passé une bonne journée? » La demoiselle se retourna et lui vola un baiser. « Plutôt. » Il lui sourit, l’embrassa plus intensément. « J’ai un petit cadeau pour toi. » « Ah bon? » il farfouilla dans sa poche et en sortit un écrin carré de quinze centimètres de côté environs. « Ouvre. » ajouta t-il en souriant en coin. Ce qu’elle fit bien sur. la petite boîte de velours Tiffany’s renfermait une chaîne avec une petite clé autour. A la vue du collier, le visage de Zoë s’illumina et par conséquent, celui de Liam aussi. Elle le regarda droit dans les yeux et lui chuchota. « Il ne fallait pas... » Et il répondit « Bien sur que si Alice.. » Elle se haussa sur sa pointe de pied et l’embrassa. Passant un bras autour de ses hanches pour la soutenir, il lui rendit avec amour. Oui, tout était beau ici. Bien plus que dans la réalité. Sauf que la réalité le rattrapa bien vite. Même ici au royaume enchanté.
Revenir en haut Aller en bas
Abygail J. Ashford
Abygail J. Ashford

DREAM ON

◊ WHO : Kaya Scodelario
◊ WHERE : New-York.
◊ QUOTE : "Rêve de grandes choses, cela te permettra d'en faire au moins de toutes petites."
◊ PSEUDO : BloodyLily (Pourquoi Lily? Aucune idée, j'm'apelle Flore pourtant...)


~ DREAM ON
◊ RELATIONS:

Just gonna stand there and watch me burn @aby _
MessageSujet: Re: Just gonna stand there and watch me burn @aby   Just gonna stand there and watch me burn @aby EmptyVen 10 Sep - 20:54

I just wanna save you. Idiot.


Un mauvais pressentiment. Oui c'est comme ca qu'on appelle ce qui est actuellement en train de me ronger. Je me demande si j'ai bien fait de laisser mon imbécile de frère tout seul cet après-midi. Je le sais qu'il est majeur, qu'il peut très bien s'occuper de lui, mais non... J'ai un mauvais pressentiment. Je devais prendre la demie-journée, mais je pense que je vais rentrer très vite. Vraiment. Je devais me réapprovisionner en livres, jeux vidéos et aller au ciné, mais je pense que je vais faire sauter une bonne partie de ces amusantes activités. Je pense que mon cœur bat plus vite que la normale, et que comme d'habitude j'ai raison, et il va faire une connerie. Mon frère a six ans de plus que moi, et pourtant j'ai peur pour lui. Pour sa santé mentale en particulier. Je me retourne, oubliant ma monnaie sur le comptoir de la librairie, je ressortirais un autre jour, visiblement pas tout de suite. Au pire, je me commanderais la fin sur Amazon. Enfin, mes talons claquent sur le bitume mouillé dans la ville, je pousse la porte de l'immeuble. Mon cœur bat la chamade. Le sang me monte a la tête, adrénaline... D'habitude j'aime cette sensation étrange, mais là, elle m'exaspère. L'ascenseur ne va pas assez vite, j'ai envie de hurler. Ma main tremble quand je fais jouer la clé dans la serrure.

Et j'entre, on pourrait croire qu'il n'y a personne, mais je distingue deux souffles, un humain, endormi. L'autre, celui d'une machine, presque un ronronnement. J'aurais du enlever le sédatif du PASIV avant de partir... J'envoie valdinguer mes sacs dans l'entrée et court perchée sur mes talons jusqu'à mon frère. Sept minutes de réalité, deux heures et vingts minutes de rêve, si l'on n'en croit un calcul rapide. Il ne doit pas être rentré depuis trente secondes... Je lui donne un petit coup, il ne se réveille pas, il a bien pris le sédatif. Je le traite mentalement de tous les noms et de toutes les absurdités possibles et imaginables. Je m'assois près de lui, me pique et le rejoins, en rêve.

Je ne connais pas l'endroit ou j'atterris. Même si je sais ou je suis, même si je reconnais les gouts de mon Liam parasités par ceux d'une autre. Son simple nom me donne la nausée a celle-là. Simplement de savoir qu'elle vit me fait cet effet-là. C'est peut-être étrange, je ne suis que sa soeur après tout. Mais putain ce que ca fait mal. Je les entends, one discussion des plus banales surement, enfin, des plus banales, si elle ne se passait pas en rêve e tque mon idiot de frère ne soit pas en train de bavasser avec une projection. Je les vois, par l'embrasure de la porte, enlacés. Je m'avance en silence. La projection, les yeux fermés ne m'a pas remarquée. C'est vrai qu'elle est jolie, pas autant que mon Liam la vante certes, mais jolie, et petite... C'est étrange, je ne l'aurais pas imaginé comme ca la "beauté fatale". Je pose ma main sur l'épaule de Liam, je tremble peut-être, mais je m'en fous. Nous sommes dans un rêve peut-être, mais même ici, je n'oserais pas tirer sur Liam, même pour le réveiller. Ce n'est pas une faiblesse. Jamais je ne pourrais lui faire de mal, c'est tout. Il va se prendre un savon, devant cette intruse. Et je me fiche royalement d'être la plus jeune. La plus inconséquente. Sur ce coup-là, je le sais, je ne le laisserais pas se bruler les ailes. D'une voix calme, je prononce son nom, avec la régularité d'une horloge, trois fois... "Liam, Liam, Liam...." C'est pire que dit en un soupir, c'est dit avec des larmes dans la voix, c'est dit sur le ton du "je ne veux pas te perdre" par sur celui que j'utilise d'habitude mais qui ne marche pas, ce n'est pas dit comme une insulte, comme un hurlement, c'est résigné, simplement.
Revenir en haut Aller en bas
C. Liam Ashford
C. Liam Ashford

DREAM ON

◊ WHO : JLG weeeeesh
◊ WHERE : New-York City
◊ QUOTE : Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. - grey's anatomy
◊ PSEUDO : caterpillar


~ DREAM ON
◊ RELATIONS:

Just gonna stand there and watch me burn @aby _
MessageSujet: Re: Just gonna stand there and watch me burn @aby   Just gonna stand there and watch me burn @aby EmptySam 11 Sep - 11:28

    Une main se pose sur son épaule. Liam sursaute et stoppe directement leur baiser. Dans un réflexe de protection il se retourne et se place devant Zoë, les bras légèrement écartés. Mais la peur s'efface en quelques secondes laissant plus place à une gêne. Il ne devait y avoir personne. Et surtout pas Aby. D'une voix calme, elle dit avec une régularité déconcertante « Liam, Liam, Liam... » Il peut déceler dans cette voix qu’il a tant entendu des trémolos inhabituels. Il déglutit difficilement. L’idée de pouvoir lui faire tant de peine lui est insupportable. Il l’a déjà tant fait par le passé... Il attrape sa main, l’écarte d’Alice, une fois de plus par réflexe, et l’amène plus loin dans la pièce. Zoë, ou plutôt sa projection ne fait pas un pas, pour le plus grand soulagement du jeune homme. « Aby, qu’est ce que tu fais ici? » dit-il calmement, sans avoir lâché la main de sa petite soeur. « Aby, je sais que tu ne veux pas, mais j’en ai réellement besoin... » Il dévia son regard du sien, s’écarta légèrement et lâcha enfin la petite main. « Son absence va finir par me tuer Aby... » Il regarda en direction de Zoë, lui sourit d’un sourire empreint de tristesse, vaincu, sans espoir. Il baissa la tête, incapable de croiser son regard. Mais il savait qu’elle le dévisageait, ayant sans doute pitié de ce pauvre frère devenu minable. Oui, Liam avait connu des jours plus glorieux, où i était encore au summum de ses capacités. Maintenant, il n’était plus que l’ombre de lui même. Et encore, s’était lui accordé une haut statut. Il avait honte de lui-même. D’être ainsi, de faire souffrir sa petite soeur à ce point, de ne pas être capable de remonter la pente. Comment se faisait-il qu’il soit si pitoyable? Pourquoi sans elle il n’était un loque, un loser finit?

    Ils restèrent ainsi quelques minutes, sans se regarder réellement, silencieux. Jusqu’à présent, Liam ne s’était jamais sentit obligé de parler avec sa soeur, leurs pensées étant connectés. Mais ce silence aujourd’hui n’avait rien de plus gênant. Liam releva la tête doucement et la regarda enfin. Dans un élan, il l’attrapa et l’amena tout contre lui. Ses bras l’entourèrent et posa sa tête contre la sienne. Alors qu’elle n’essayait pas de se dégager, il resserra son étreinte doucement. « Excuse moi Aby, je pensais pas que j’en arriverais à devenir un profond loser. » Il embrassa le sommet de son crâne et ne lâcha pas l’étreinte. Ils avaient perdu tellement de temps ces dernières années à être séparés qu’il ne voulait en aucun cas qu’elle parte. Il avait besoin d’elle. Tout comme elle avait besoin de lui.
Revenir en haut Aller en bas
Abygail J. Ashford
Abygail J. Ashford

DREAM ON

◊ WHO : Kaya Scodelario
◊ WHERE : New-York.
◊ QUOTE : "Rêve de grandes choses, cela te permettra d'en faire au moins de toutes petites."
◊ PSEUDO : BloodyLily (Pourquoi Lily? Aucune idée, j'm'apelle Flore pourtant...)


~ DREAM ON
◊ RELATIONS:

Just gonna stand there and watch me burn @aby _
MessageSujet: Re: Just gonna stand there and watch me burn @aby   Just gonna stand there and watch me burn @aby EmptySam 11 Sep - 20:38

Un réflexe. Un seul, qui le perdra. Je ne le connais que trop bien pour savoir qu'il est fou, fou d'elle. Mais là, c'en devient idiot. Protéger une projection en un réflexe. On ne peut lui en vouloir, tant qu'il ne la reverra pas, c'est tout ce qu'il lui reste. Mais il perd pied, je le vois dans ses yeux, cette projection, a ses yeux, c'est elle. Sa bouée de sauvetage. Mais il m'en ferait presque peur a s'y accrocher ainsi. Je sens que je vais devoir accepter un compromis, je sens que je vais devoir le laisser partir. La retrouver, il doit la retrouver. Sinon, il se perdra. Mais rien n'exclut qu'elle ne veuille plus de lui... Mais rien n'exclut que tout ne se passe pas comme prévu.
Quand il m'entraine a l'écart, quand je sens sa main qui me prend le poignet, je sais qu'il a, encore une fois, oublié les règles. Il se sent chez lui ici, d'ailleurs il est chez lui, je le sais a la manière assurée dont il m'entraine dans la pièce attenante. Je le sais. Il a recrée cet endroit d'après des souvenirs. Voilà pourquoi il s'y perd. Voilà pourquoi il oublie. Il oublie même les règles les plus élémentaires, cet idiot. Elle ne nous suit pas, au plus grand soulagement de Liam. Je le sais, je peux le lire dans ses yeux, il n'est plus la forteresse qu'il a été, il est devenu un autre, brisé. Et tout ca, a cause d'elle. Bon Dieu que je la hais. Que j'ai envie de la tuer, là maintenant, même si c'est une putain de projection, j'ai des fourmis dans le revolver. Ses yeux dans les miens, j'ai l'impression de revoir une ancienne scène, ses yeux sont toujours les mêmes, quoiqu'une certaine tristesse les envahit. Il parle, de sa voix douce, de sa voix vaincue. « Aby, qu’est ce que tu fais ici? ». Un question dont la réponse serait toute trouvée, si nous n'étions pas dans un rêve. « Mets-toi dans le crane, sombre idiot, que je t'aime, et que quelles que soit les conneries que tu fasses, je serais là, pour t'aider. Donc je suis là. » Une réponse toute faite ? Vous le pensez vraiment ? Non, c'est une des choses les plus difficiles que j'ai jamais dites, ma parole plutôt crue d'habitude est devenue ca, un gouffre de désolation pour mon frère.« Aby, je sais que tu ne veux pas, mais j’en ai réellement besoin... » Il tenait toujours ma main, et enfin la lacha, j'avais l'impression de me retrouver sans défense, et étrangement, ce n'était pas plus mal. Je voulais hurler, mais je ne pouvais pas, je voulais lui dire ses quatre vérités mais je ne pouvais pas. « Son absence va finir par me tuer Aby... » Que répondre a ca, je voudrais pouvoir lui dire que nous sommes revenus pour une bonne raison, qu'il la retrouve. Mais non, je ne lui dirais pas, sa tête semble tomber quand il l'abaisse. IL est brisé, changé. Mes yeux se ferment, un soupir s'échappe de mes lèvres. Face a lui, face a mon frère, je ne peux rien. Je pourrais hurler, je pourrais crier, là je serais moi, là, il m'entendrais. Mais non, je ne le ferais pas. A part retourner le couteau dans la plaie ca ne fera rien. A part briser encore plus son cœur ca ne fera rien. Je garde le silence, ne pouvant pas crier, je ne peux pas parler. Ne pouvant exulter, je ne peux m'exprimer. Je suis au désespoir, comme lui. Et je baisse la tête, comme lui.

Quelques minutes passent ainsi, dans nos penses respectives. Et je me sens mal. Et il lève la tête. Et il me serre contre lui. Et le mal se dissipe. Et ca fait du bien de le sentir là, contre moi, en vie, malgré tout. Une larme perle au coin de mes cils. Sa tête contre la mienne, ses yeux dans les miens. Nous restons ainsi quelque secondes, a peine, juste assez pour laisser comprendre nos pensées a l'autre. Je vois en lui, simplement, je le comprend, depuis tout le temps que je le connais, j'ai appris a le lire, a le décrypter. Je pense être la seule a savoir faire ca. Ses bras se resserrent autour de moi. Je ne m'entends plus penser, je ne sais que dire, et il rompt le silence. C'en était presque magique, mais je préfère cela. « Excuse moi Aby, je pensais pas que j’en arriverais à devenir un profond loser. » Et sur ce, ses lèvres se posèrent sur mon front, un baiser d'un frère a une soeur, simplement. Son sourire triste se renforce presque, mais non, il ne peut pas vraiment sourire quand elle n'est pas là. Je réponds cette fois, n'en pouvant plus de mon mutisme. Je réponds, presque en un murmure, passant ma main dans ses cheveux. « Tu es loin d'être un loser. Juste un Idiot. Un idiot amoureux, ce qui fait encore plus de dégâts. Un idiot. Et tu sais quoi? Si on est revenus a New-York, ce n'est pas pour que tu continue avec ta dope, c'est pour que tu la revoie, vraiment, et que je te retrouve, comme tu étais, avant. » Je l'ai dit, j'ai bien dit ca. Et c'est vrai, je la hais, mais je n'en peux plus de le voir comme ca, en une année, nous n'avons rien rattrapé du temps perdu. En une année, je n'ai pas pu le comprendre, mais cette fois, je lis en lui, simplement. Je sais qu'il va redevenir lui, après l'avoir vue. Et que je vais devoir faire des sacrifices.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Just gonna stand there and watch me burn @aby _
MessageSujet: Re: Just gonna stand there and watch me burn @aby   Just gonna stand there and watch me burn @aby Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Just gonna stand there and watch me burn @aby

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
— INSTANTIATION :: The world is mine :: ~ New York New York :: Résidences-